Wednesday 27 May 2009


 LE SENS DE LA VIE

Qui se pose encore cette question depuis les Monthy Python? 
Auraient-ils apporté des réponses imparables à une question qui aurait fait s'activer de 
nombreux esprits jusqu'à 1983 (date de la sortie de la pierre philosophale qu'était ce film)?
Cependant, comme l'humanité a subsisté à cette révolution et ne s'est pas autodétruite de dégoût, de nouveaux questionnements ont subrepticement refait surface.

Heureusement, 83 c'est aussi l'avènement de Véronique et Davina, le step, un beau corps sculpté et ce qui va avec. Et pan ! une génération entière épargnée du retournement de cerveau, des interminables débats des anciens et des modernes, en somme les vacances morales. Enfin libres dirons nous(d'autant que je suis de 1983) on peut profiter du renouveau artistique entre le fluo, la salle de sport et le sexe.

2009: Yelle serait-elle la fille cachée de Davina et du père de Teki, elle qui à son tour redonne un nouveau souffle à la musique et nous montre la voie à suivre pour être heureux?

En tout cas on pourrait croire que ça fonctionne, à en juger par la reconversion de Davina qui est passée du body à la toge bouddhiste. La boucle est bouclée, il faut croire que depuis 83 on a même réussi à inverser le cycle épistémologique oriental (qui va d'habitude de la perfection au chaos, pas l'inverse).

Le bonheur, c'est un body, un body couleur curry si on veut, mais un body trempé de sueur et de sécrétions plus ou moins identifiées (oui, vous savez, la lumière bleue dans CSI...)

Résultat, la plus grande question de la fin du XXème siècle était posée par Bill Clinton lui-même
lorsqu'il était président des Etats-Unis : "Est-ce que sucer c'est tromper?"
Ce débat d'une importance fondamentale pour le renouveau moral de l'humanité a recréé deux courants de pensée. Les conservateurs, contre l'amour par voie orale et les autres, ralliés au mot d'ordre "Sucking is not cheating ! " 

Monday 4 May 2009


DIRRTYGLAM #22 RELEASE PARTY

Get down and dirrty with Dirrty Glam djs, Niki Brats & SPECIAL GUESTS

"Julia will be attending"


L'autre soir c'était séance Sex and the City the movie feat. Pilsner Beer. L'occasion pour Paul de s'interroger sur les tics de langage US. Pourquoi et comment est-on passé du "fuck up" au "screw up"? Quelqu'un a-t-il remarqué une évolution analogue en français? screw est-il plus vulgaire que fuck? plus imagé? ou alors plus démocratique: on note le petit côté BricoleGirl, le vocabulaire du menuisier musclé qui colle si bien à l'ambiance SATC (Aidan es-tu là?), on aime l'image de la vis manipulée par Samantha alors que le fuck était précédemment plutôt réservé à Tony Montana par exemple. Screw est-il la féminisation de fuck? Même si cela n'explique pas le recours automatique à la métaphore sexuelle auquel les anglo-saxons ont lorsqu'il s'agit de foirade, quelle qu'elle soit (rien que ça mériterait bien un topic) même si ça suce...

Last time we watched SATC the movie while drinking Pilsner Beers. The right moment for Paul to raise the question of verbal tics made in US. Why and how have we moved from "fuck up" to "screw up"? Has anybody noticed the same phenomenon in French? is screw more vulgar than fuck? is it more evocative? or more democratic: can you hear the call of DIY, that of Aidan fixing shelves, can you see Samantha handle the screw between her damp hands? As fuck belonged to Tony Montana, is screw more girly? Anyway, it doesn't explain why Americans cannot but not use sexual metaphors when it's about failure (what a new topic!) even if it sucks.

Saturday 2 May 2009

Parce que parfois les voies du Seigneur sont impénétrables...

See you Soon

Asap

XO